Morphée m’emmène dans ses bras – Iris1950

Lorsque tu te glisses dans les draps Et, que brusquement Morphée t’emmène dans ses bras, Imagines-tu un instant Ce que tu vas vivre soudainement. Certainement pas, tu glisses doucement, Vers des contrées obscures. Ces rêves peuvent être charmants ou durs. Tu t’enfonces dans les profondeurs, Alors surgissent tes peurs. Tu ne sais pas nager, Et, … Lire plus

Fluctuat nec mergitur..- @nne Cailloux

C’est dans Paris qu’il faut considérer le français, parce qu’il y est plus Français qu’ailleurs. Charles Pinot Duclos . Paris ;Rue du vide gousset, devant l’église, les femmes de petites vertus tapissent le trottoir de vos envies pudibondes. Les apparences sont parfois trompeuses, elles sont de grandes vertus et de bons principes. La morale tombe … Lire plus

On ne t’oubliera jamais Mohand Said – Slimane Lagra

ON NE T’OUBLIERA JAMAIS         MOHAND SAID          Ce vaillant maquisard debout tel un géant Avait affronté la mort avec courage inédit Il avait été torturé de longues nuits durant Et il avait défié ses bourreaux…bien hardi !   C’était un lion qui rugissait et faisait peur Décidé et … Lire plus

L’orgueil incommensurable – Contu Aurel

Quand tu dis „moi-même” tu mens c’est tautologique tu n’es jamais juste „toi” avec vous il y a  un million d’autres êtres (les bactéries amicales au service de la vie champignons microscopiques parasites les virus criminels au service de la mort!) si vous vous regardez au microscope découvrant un monde  incroyable une lutte désespérée pour … Lire plus

Vingt-quatre heures de la vie d’une femme – Banshee

Je commence un nouveau carnet au Starbucks. Vingt-quatre heures de la vie d’une femme. Je vois Lucas ce midi. Il a lu mon livre. Je prends un grand café. Entretien d’embauche et Youtube. Je vois le psychiatre cet aprem. Je vais encore le balader. Je me balade toujours avec un critérium. Carnet Gallimard. Mon grand … Lire plus

Motte de vie – Clipp

Nuage     de      lien Décrit    l  ‘  histoire Des   mots   bougent Flotte     la     phrase. La    vague    s  ‘  affole Poème     se     raffole Caresser     le     récit Louange     d  ‘  herbe.

Drôle d’endroit – Sara Diluna

C’est dans ce cimetière Qu’un rendez-vous Ils se donnèrent Allongez-vous Elle se mit à terre Au garde à vous Ainsi, ils trépassèrent Une sacrée nuit d’enfer Pensez-vous Soudain, elle avait froid De nouveau, ils se réchauffèrent Quel émoi Ensemble, ils frissonnèrent Car ils étaient sans toit En pleine misère C’est ainsi qu’ils consumèrent Avec beaucoup … Lire plus

Un amour différent-Brahim Boumedien

Un amour différent Qui parle de lui-même Un Amour transparent Un Amour comme j’aime !   Il va droit au cœur Il l’ouvre et s’y installe Semblable à une fleur Ouvrant ses pétales   Voilà ce que je ressens Au fond de moi-même Un Amour jaillissant De deux êtres qui s’aiment   Un Amour qui vous … Lire plus

La silhouette de la sérénité- Fattoum Abidi

La silhouette de la sérénité Siège, décrète Un répit de bonheur, Le mal a désossé la force de la paix.   La marmite du temps Mijote,  compte Les bulles frustrées, Le poisson manque le mets.   Les factures sont salées, On ne peut alimenter Le manger Par des Dorades adorées.   Les fruits de mer … Lire plus

Trouble bipolaire- romain en serie 16- Contu Aurel

a șaisprezecea zi   Rezumat Virgil Morel, personajul principal, se internează într-o clinică psihiatrică la indicațiile medicului său curant, Julien, prieten cu doamna Adelaide, directoarea clinicii, cu care acesta are o relație de dragoste tensionată. Dorind să scape de ea, el o omoară, punând totul în spatele lui Virgil. Urmează o investigație psihologică complicată, condusă … Lire plus

Humusation – Anne Marie

  Déliter, telles les feuilles Tombant du haut de leur arbre Et jonchant en épais cercueil Une terre noire, arable. Evanescent, telle la fin Aussi sûr de tout un chacun   En généreux festin grouillant, Offrande à des millions d’amants. Résurrection en spirale, Sans jugement ni mal, Nos poussières perpétuées Nos ancêtres enracinés, Et le … Lire plus

Souverienne – Charlotte Dubost

  D’un coin de terre fertile, je ne veux qu’une parcelleQue je peux cultiverLe reste revient de droit à la nature souveraineQui change en œuvre de vie ce qui lui est confié D’une vaste maison je ne veux qu’un coin viergePour m’abriter les jours que la tempête assiège,Et me soustraire d’un bond aux regards indiscretsQuand … Lire plus