Il était une fois….. Dans un bois où les plumes volaient bas, vadrouillait une faune éclectique. Le maître de ses lieux, régnait sur les quatre saisons. A l’intérieur comme à l’extérieur il était reconnu pour ses voyages d’amour qu’il écrivait de ci de là. Il n’avait plus trop le temps et avait passé la patte … Lire plus
Peu après le décès de mon mari La naissance de mon petit-fils m’a redonné la vie Comme un arc-en-ciel au firmament Il a empli mon coeur de joie Mon donnant un nouvel émoi; Je pouvais continuer à vivre maintenant. Pour la première et seule fois, j’étais grand-mère Attendant d’être quinquagénaire Une multitude d’émotions inconnues … Lire plus
Etre avec toi c’était çaFaire l’amour dans les tranchéesS’offrir tout un monde, éblouisA la lumière d’un incendieSans relâche, chercher ton regardDans le chaos d’un champ de batailleOublier l’impact des ballesEt la morsure de la mitrailleSans réfléchir, le cœur à nuAu beau milieu d’une pluie acideL’instinct de survie gisant à terreC’est simple, rien d’autre ne … Lire plus
Petite fable affable Nul ne subit ni ne souffre toutes les peines !Un ours brun et moche n’ayant ni pot ni veine, Sauf les apparentes de ses jambe et mollet– Mais au diable, les varices ! – rigolaitD’un renard se sachant beau et, plus admirable,Qui voulait que cela se sache et, impayableCrâneur qu’il est, … Lire plus
Eric de La BrumeLe 9 mars 2019 Je suis le mal,on me donne plusieurs nomssuivant les régions ou je m’insère,les religions me personnalisent. Je n’ai ni forme ni matière,mais souvent on me représenteavec des formes hideuses,et je combats avec jouissance le bien. Des religions d’amour et de partage,j’en fais des hérésies,et y insuffle un souffle … Lire plus
De l’utérus de la vie De l’utérus de la vie Je suis née, D’une maman divine Je mène une existence patiente. A la mémoire de maman Je chante la mélancolie, D’une injustice du temps on souffre, Repose-toi maman dans l’éden. De l’utérus de la vie On regarde se défiler la triste Mélodie, … Lire plus
Mystérieuse flamme qui brûle Tout en haut du phare Solitaire d’une péninsule Où tout nous sépare De l’oppressante canicule Et de tous les canulars Reconnaissance de la lune Mal être qui nous tiens à part Il s’agit du préambule De la folle revancharde, Amoureuse incrédule De ce risible traquenard
Je n’ai plus de sentiment Dehors, souffle le vent Il m’emporte avec lui Vers un lieu-dit J’ouvre les yeux Et la pluie tombe Sur mes cheveux Mes jambes sont trempées De ces larmes qui coulent Et coulent sur mon parapluie Des gouttes d’eau Au fond du puits Puis je m’abandonne Et me donne à lui … Lire plus