Une ville sous la pluie – Lazhar Djaballah.

Une ville sous la pluie.

À travers la fenêtre,derrière les carreaux
Je vois les cordes d’eau tombant de là-haut
Il pleut comme si on verse de l’eau en seaux.
Le ciel est tel un fardeau pesant sur les dos.
Des gens s’abritent sous leurs parapluies
D’autres sont dans leurs manteaux de pluie.
Un monde se précipite comme des fourmis.
Un qui va au bouleau,un autre rentre chez lui.
L’un qui marche en silence,l’autre fait du bruit.

Là où ils vont dans les rues, l’averse les poursuit.
Les promeneurs sont inondés d’eau.
Les arbres tout comme les poteaux
Prennent une douche sous ce jet d’eau.
Les feuilles flottent comme de petits bateaux.
L’eau miroite comme une lampe en morceaux.
La pluie ne cesse que la nuit
Tout le monde s’inquiète,s’ennuie.
De peur que ça reste à l’infini.
Après la pluie,un beau soleil luit.

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Lazhar ben Lamine Djaballah.
Touggourt.Algérie.
29.07.2018.02.28.
Poète des Oasis.

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Lazhar Djaballah

Lazhar Djaballah (66)

Je suis poète amateur. Amoureux des vers. Les miens sont un peu sous la hauteur. Je lis les romans et les œuvres littéraires J'aime beaucoup les fleurs, Les jolies filles aux beaux yeux verts, Les brunettes charment mon cœur. J'aime les voyages et l'amitié sincère. J'habite au milieu des grands déserts. Dans les oasis au climat sec et chaleur. El-Oued et Touggourt, mes villes chères. J'étais élève et maintenant professeur. Quand j'était enfant,j'avais tant souffert, Des séquelles d'une médicale erreur. Je claudique par un steppage sévère. Une paralysie des membres inférieurs. Ma chère mère existe après cher père. Mes quatre beau-gosses sont rêveurs. Moi et mon épouse,nous sommes fiers. Je suis citoyen respectant les valeurs. Ni riche ,ni pauvre,mais j'en suis fier. Musulman,croyant,n'ayant pas peur. De ceux sous-estimant mes caractères. Lazhar ben Lamine Djaballah. Touggourt.Algérie. Poète des Oasis.

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