Je respire du vent,
Mais je ne manque pas d’air,
C’est un drôle de mystère,
La folie parfois m’emplit,
Je ne peux rien y faire,
Mon cerveau construit de drôles d’écheveaux,
Et je galope debout sur ses chevaux,
Plus rien ne m’arrête,
Je suis bi c’est ça qu’est chouette,
Je tire un autre numéro, pour voir,
Cette fois, les chevaux me font choir,
Je suis pris d’un gros désespoir,
C’est lui, c’est encore mon cerveau,
Il décide de tout, mer belle ou agitée,
Au creux de la vague ou sur la crête,
J’avale tout bien, mais rien ne l’arrête,
Les envolées lyriques finissent en Bénabar,
Et Bénabar se change en Léo qui éj….,
D’une chanson à l’autre, je danse un slow ou une zumba,
C’est juste que parfois je voudrais dormir là bas.
°
Stéphane
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