Théâtre des ombres
Par des néons admiratifs de sa grandeur,
Que des escaliers élèvent à bout de bras.
La place du théâtre où mes pensées dansent,
Et s’étourdissent en petits rats de l’opéra.
Sur un fond de bleu nuit, les murs longs et pâles,
En le ciel s’étalent et mussent tout ce très haut
Sombre immensité, mes yeux flous du récital.
Du pavé, scène étoilée, des jeux vespéraux.
Un silence apaisant; aux flots des fontaines
Me serait-ce égaré voile caligineux,
Toile de parhélie, sur les eaux lointaines
Et abandonnées, du fleuve faramineux
La brise éclate en cette nuit nostalgique
Vague époque où mes bras jouaient sur l’estrade.
La place du Théâtre, ô souvenirs classiques Que déforment les ombres sur l’esplanade
© Aldrick Le Mat – 26/01/2018
joli texte je rejoins l’avis de notre ami Delloly Chacun doit préciser le défaut dans sa critique. Une belle critique sa mission noble est de construire et pas de détruire.
Mes sincères amitiés, excellente journée Aldrick
mes amitiés
Fattoum.