S’il y avait encore lieu d’en douter,
Mon coeur est cette cage aérée,
Sans prise au vent, balayée de tout sentiment.
Tenace.
De l’idylle à l’aventure il passe,
Il débarrasse, il suit le souffle des idéaux,
Il aspire les larmes et les maux,
Et pourtant quelque part, je vous le promets,
Au chaos, au fatal, à l’incontrôlé
Il aspire.
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©Quidam – 25/08/2018
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Très beau texte ! Merci pour ce partage !