“Sans l’éther qui les porte
Les ailes du vent sont mortes
Elles ricochent, se perdent
Dans des précipices.
Ce sont les mots qu’on ne dit pas
Qui pèsent le plus lourd,
Les mots caressés entre les lèvres,
Au voyage silencieux, balbutié
Dans un chariot cahotant,
Trop chargé d’émotions,
Embourbés en incertitude
Dans une absence sensible…”
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Bravo Didier, vos mots sont très beaux. S’il vous plait, ne vous taisez pas ! ou au moins écrivez encore…
Merci pour ce beau partage poétique Didier !
Cette introduction prometteuse nous donne hâte de découvrir vos autres poèmes.
A très bientôt !