A l’ombrage des chênes centenaires
Au abord d’un ruisseau enchanteur et scintillant
Telle deux amants allongés dans la tendresse de la nature
Nous nous aimions
En ces moments de plaisirs indicibles
Afin d’exprimer l’un à l’autre l’effluve de nos sentiments
Dont les flots tumultueux surgissent semblable à un torrent
De l’abîme de nos coeurs enflammés
Nos regards s’entrecroisent âtre de passion et de désir
Où scintille d’une volupté ineffable la flamme de Cythere
N’est il en cette existence aveu d’amour plus déchirant.
Nombre de Vues:
18 vues
Bonjour Jean-Luc,
Votre prose est fluide comme pourrait l’ être un torrent.
Les idées s’ enchainent naturellement donnant du rythme au texte, et
des mots bien évocateurs si bien que l’ on s’ immerge dans ce paysage frais.
Les sens s’ animent et votre texte semble comme animé de vie.