Quand mon affaire de coeur dépérit, je vais à la mer…
Ce chemin qui va à un jardin, où subir l’injure des ans.
À chaque pas, que j’y meure dans la fleur de ses ans où
Je trouve un coquillage, à chaque fois que j’eusse pensé.
À présent que, m’avoir tombé comme sur un bouclier agi
Et je me suis arrêté, je me suis penché sur lui et je l’ai pris.
La mer hésita, car elle faisait un voyage au fond des eaux
C’était une moule jolie qu’elle était dans la coquille noire.
Je l’ai mise au petit filet, j’ai emporté à une flaque grenue
Ensuite, j’ai fait un canal d’évacuation jusq’à la mer bleue.
Ainsi qu’on eût ouvert un passage, pour qu’elle puisse fuir
D’où, elle aura parvenue à la chaleur de son sein maternel.
À veiller, pour que me refléter des rayons en perle de soi
Que je peux continuer à ramasser des affections perlières.
Je l’ai laissée dans le petit filet, jusqu’au lendemain matin
Mais, quand j’y suis retourné j’y ai aperçu un bouton noir !
©Abdullah Karabag