Il est vrai, par ma Foi en Vous que j’ai eue autrefois vos envies tenues entre mes mains. . Vos yeux, que de charmes étaient m’ouvrit moult portes à mon corps défendant il fut Temps que sage je fus.. ; longue attente, grands aguets à votre corps attendu languissante, désespérée quand je vis, le crépuscule sur moi venir ma souvenance se fit..
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Ma vertu insistante, vous ai-je offerte mon corps sur votre autel mes hanches, au compas arrondi sur ma peau imitant le marbre. . Bombance vous avez fait ; entre vos mains pandiculant naît une fleur parmi votre vers feuillage étreintes, meilleures que vin de Dionysos. . Au bord de fenêtre grande peine m’est venue au bord de mes yeux devant le jardin français à l’éminence du plaisir au détroit fougueux de votre vil… offrant plaisir, effeuillant jolie damoiselle entre colin-maillard et Petit Trianon. . Que le jour délivre mes pleurs de cette nuit sans Vous..; mon printemps fut sans bourgeon mon été sans semence ma plume fut trempée aux larmes de mes yeux devant vos hiérogamies ; Ô mon chapelet je te reprends… Dieu je te prie ! . ©Anne Cailloux
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Là, vraiment, vous vous surpassez et vous décuplez notre plaisir de lire. Un grand merci pour cette immense moment de plaisir.
Là, vraiment, vous vous surpassez et vous décuplez notre plaisir de lire. U
Un excellent texte aux parfums d’antan que j’aime tant, effluves qui me semblent donner plus de poids aux mots et fragrances qui obligent à tourner sa langue pus de sept fois dans l’encrier… mais sans donner l’impression du labeur. Bravo et merci pour ce partage, Anne.
O un nouveau style auquel j’adhère… bravos à Vous Anne
c’est très beau
Ol