Comme un papillon fauve à la lèvre s’irise
Et tremble avec les mots, si frêle en nos amours,
Barbarie oublia sa chanson dans les cours,
D’un murmure lointain, berçant mon âme grise.
Je crois entendre encor la mélodie apprise
En notre chère enfance, espoir de vains retours,
La secrète mémoire, et le chagrin des jours
Qui figea le canal tourmenté par la brise.
La lune a fait briller tes yeux sous le bouleau,
Quand le moulin charmait au rythme lent de l’eau,
D’un céleste chorus, le ballet des étoiles !
J’ai suivi la comète où l’oiseau prend couleur,
Et peintre retouchant les plus anciennes toiles,
Un calice de vie estompa ma douleur !
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“Un calice de vie estompa ma douleur”
Belle image fort et parlante…
🪶
La musique fait vivre votre texte..
Vraiment beau.
Rejoindre ce ballet des étoiles ,c’est beau merci! bon vendredi dans ce ballet ! Colette Guinard
J’aime beaucoup votre style Jean-Pierre et avec la vidéo audio c’est encore plus parlant…merci pour vos beaux partages !