Quand le jour s’enfuit – Olivier Gidoin

Quand le jour s’enfuit, les yeux à moitié fermés, à mesure qu’avance la nuit, elle se laisse aller, son regard posé sur lui sans être gênée malgré le vent, la pluie depuis la matinée.

Quand le jour s’enfuit, elle attend un baiser à mesure qu’avance la nuit , sur ses lèvres mouillées par cet homme qui le suit sous un ciel étoilé, le vent a chassé la pluie qui n’arrêtait pas de tomber.

Quand le jour s’enfuit, elle se laisse caresser à mesure qu’avance la nuit par l’homme de ses pensées qui se jette sans bruit sur elle et sans brutalité , son corps est comme un puits où il voudrait se noyer.

Quand le jour s’enfuit , elle est émerveillée à mesure qu’avance la nuit et voudrait bien danser avec l’homme qui est celui dont elle a toujours rêvé si bien qu’elle en déduit , c’est une belle soirée ! 

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