Il passa tant d’ heures à brosser, à peindre ce portrait
et si déçu par le résultat final que de dépit, il mît la toile
au feu. Au dépit, s’ ajouta la colère qui finît de mettre
cette huile sur le feu.
En définitive, cette croûte selon lui, n’ offrirait pas le pain
à sa mie.
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Qu’ on crève de faim dans ce pays et dans ce monde aussi, car il ne faut pas être nombriliste, où l’ on respire mal aussi, où la guerre fait rage encore, où l’ on a à faire face à toutes sortes de plaies. On attend donc vos textes engagés à ce sujet ( les miens arriveront bien vite ). Par ailleurs, écrire de la poésie, c’ est aussi prendre du détachement, du recul par rapport à l’ évènement aussi tragique soit il et qu’ il nous apparaît pour en définitive faire encore rêver. Votre commentaire n’ est ni plus ni moins qu’ un raccourci. L’ humour ? C’ est ce qu’ il reste avec la dignité quand il n’ y a plus de pain. Enfin, ce texte que vous déplacez n’ abordait pas le sujet du mal de la faim. Vous posez donc des problèmes où il n’ y en a pas. Allez donc poser dans ” Vogue ” vous y ferez des vagues sans doute. Au plaisir.
humour et dommage qu’on crève de faim dans ce pays.