Parle tuba – Robert Cohen

Je trouverai le ton du temps du temps qui passe
Quand tu t’y arrêtes chanter                 Le faux jour, la vraie nuit
Tes yeux bisant ma face                Devant ces pianos

Le Dieupason se cache
Quand tes appoggiatures me le font entrevoir moi qui m’accroche à la clé

Et si ma voix déraille, et si mes mains sont graves
Le coeur s’élance au gré
De ton exposition

Égal ou diminuée
Le nombre s’intercale derrière l’alphabet
Quantilène                                              Des chantres coule le rythme de l’eau Sourde et muette
Ô longueur de tes jambes                    Qui scandent sur leur traverse nos âmes haut perchées

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Robert Cohen

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Ce que je suis? Pffft. L’amour se cultive et je suis mauvais jardinier.

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Invité
20 janvier 2021 12 h 23 min

Je trouve cela très beau, merci.

Plume de Poète
Administrateur
19 janvier 2021 18 h 08 min

Merci pour ce partage poétique original Robert !
Il serait judicieux d’ajouter votre biographie ou présentation auteur ainsi que votre photo ou avatar représentatif depuis votre profil membre afin que les lecteurs, visiteurs et membres puissent mieux vous apprécier.
Cette présentation s’affichera sous tous les textes que vous publiez depuis le site dans la fenêtre auteur.
Bonne continuation et au plaisir de vous lire à nouveau.
Bien à vous,
Alain