Je trouverai le ton du temps du temps qui passe
Quand tu t’y arrêtes chanter Le faux jour, la vraie nuit
Tes yeux bisant ma face Devant ces pianos
Le Dieupason se cache
Quand tes appoggiatures me le font entrevoir moi qui m’accroche à la clé
Et si ma voix déraille, et si mes mains sont graves
Le coeur s’élance au gré
De ton exposition
Égal ou diminuée
Le nombre s’intercale derrière l’alphabet
Quantilène Des chantres coule le rythme de l’eau Sourde et muette
Ô longueur de tes jambes Qui scandent sur leur traverse nos âmes haut perchées
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Je trouve cela très beau, merci.
Merci pour ce partage poétique original Robert !
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Bonne continuation et au plaisir de vous lire à nouveau.
Bien à vous,
Alain