Quand on regarde dans le rétroviseur
On revoit des joies et des bonheurs
On revoit des défaites et des douleurs
On revoit des victoires et des erreurs
Fierté se reflète sur miroir
Quelle longue trajectoire !
Quel chemin et quelle gloire !
Les feux arrière sont bien éteints
Pourquoi alors on se plaint ?
Qu’est ce qu’alors on craint ?
Comment du passé faire le plein ?
Quand on regarde à travers pare-brise
On sent qu’il y aura bonnes surprises
Qui nous attendent pour être prises
Oubliant hier toutes ses couleurs grises
Espoir se dessine sur les lèvres
Amour pour la vie monte sa fièvre
Ses couleurs ne sont pas mièvres
Les feux avant sont éclairés
Comment alors ne pas espérer ?
Comment ne pas vivre et s’aérer ?
Comment ne pas aimer et vénérer ?
Alors on bouge en quatrième vitesse
Laissant la peur et ses faiblesses
Laissant l’angoisse et tout le stress
Pour ressentir profondément la liesse
Tant que Ilef et ses soeurs tiennent le volant, j’ai bon espoir que le véhicule est en de bonnes mains et qu’il arrivera lentement mais sûrement à destination pour notre grand bonheur à tous ! Merci, chère amie, pour cette détermination. inébranlable !
Merci pour tout cet espor que vous nous offrez au milieu de l’hiver. Il faut dire qu’il y a beaucoup de tristesse dans notre poesie ! N’oublions pas le soleil qui brille pour les bons et les mechants. Merci Ilef pour ce rayon du matin