Ode au théâtre sous les chandelles du XVIIe siècle
Une frise de Molière Tapisse une nouvelle ère Sur un théâtre tournant Dans le carrousel du temps.
À l’avant de ce décor Couronnant cet âge d’or Y veille le Roi-Soleil En quête de son pareil.
Et un coup de manivelle Fait pivoter la tournelle Sous cette machinerie D’où paraît l’autre génie.
Le nom de Pierre Corneille Vient y faire des merveilles Sous le halot de la gloire Saluée par la victoire. |
De cette glorieuse aura Sonne Racine le glas Dont s’accommode Boileau En s’emparant de ces mots:
«Acceptez mes excuses Ridicules et Précieux Priant de nobles Muses Imprégnées de mes voeux. Faites-nous vos adieux Autres Messieurs pédants Délaissés par les cieux Dans la grâce du temps. Bonjour monde mondain Accouvant mes gradins De vos acclamations Sans une hésitation À l’éclosion de rimes Nues de toute frime!». . ©Isabelle Lebrun- Isalou Poésie |
Super beau bravo Isabelle j’ai adoré ma lecture
Douce nuit
Mes amitiés
Fattoum.
Un excellent tableau et d’un temp et d’un genre qui explique que l’on parle encore aujourd’hui de ce temps comme étant « me Grand Siècle ». Bravo et merci…