Déjà le doute m’assaille et de tout mon être je tressaille.
Comme le bateau sans phare, se fracassant sur les remparts ainsi sont certains enfants.
Enfants perdus, enfants déchus.
Tous reniant leurs ombres alors que nous ne souhaitons que nous fondre.
Sortis du ventre du monde pour naître dans l’immonde.
Dans l’éternel sein maternel là reposent nos ailes.
© 2017 – *Nathalie Lobry
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