NOUVEAU CONFINEMENT
Ah! oui premier avril
Mais ce n’est pas un poisson, c’est certain
Il est bien présent, j’en conviens
Nous devrons nous adapter dès demain
Pour combien de temps encore et encore
Avoir sur nos têtes cette épée de Damoclès
Mettre la vie des humains en péril.
Ce démon qui nous nargue et nous dévore
Tel un brasier ? brûle dans sa couleur rubis
Il se consume laissant derrière lui cet alibi
Nous faire profiter de ce spectacle
Comme les éclairs qui se refléteraient au loin
Dans ces moments de frayeur d’un orage
Qui laisserait sur terre un vrai carnage.
Quand vas-tu à tout jamais, de nos vies disparaître
Pour ne plus jamais revenir et réapparaître
La seule solution pour nous à présent
Se faire vacciner pour nous protéger
Ne pas en craindre les conséquences
Ne pas douter et garder la foi
Faire confiance à nos dirigeants.
Comment peut-il en être autrement
Si nous voulons revoir nos familles
Serrer, enlacer nos parents et nos enfants
Pouvoir les prendre dans nos bras, les embrasser
Bondir et sauter , devant un feu de bois
Rire, rire plus fort, émettre des cris de joie
Près d’une grande table se réunir petits et grands
Ainsi ensemble libérés et joyeux saurons autour
Savourer, ce délicieux repas fait avec amour
Texte de Colette GUINARD
Chère Colette, Vous avez notre entière approbation…Nous venons juste hier de nous faire vacciner mon épouse et moi (PFIZER BIONTECH) Tout s’est bien passé… “Au loin les complotistes assassins ou inconscients” !!!…amitiés…JC
Oh non mon amie, ce n’est pas un poisson d’avril, mais votre poème est délicieux