MA COUSINE
Elle était bien gentille
Cette cousine déjà partie
À sa dernière demeure
Rejoignant tôt sa sœur
Elle même décédée avant
Entourée de ses enfants
Ainsi était leur destin
Un jour sans lendemain
Sur la route par hasard
Elle a disparu des regards
Un vendredi trop cruel
Ce fut un accident mortel
C’est un fait douloureux
De les perdre toutes les deux
Mais quand l’heure sonne
Nul n’échappe… personne
La vie est éphémère
Telle la traversée d’une mer
Ou le passage d’un train
Tout début a une fin
Que le tout miséricordieux
Les accueille dans les cieux
Dans son vaste paradis
Là où existe l’éternelle vie
Slimane LAGRA, le 02-6-2020
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Merci Christian pour votre commentaire. Mes amitiés. Slimane
Merci beaucoup Brahim. Amicalement. Slimane
Touchant hommage malgré s pudeur. Bravo t merci, Slimane.
Merci beaucoup Christian. Amicalement Slimane
Merci, Slimane, pour le partage de ce poème, en hommage, à titre posthume, aux deux disparues. Que Dieu les accueille au paradis !