L’oiseau dans sa cage – Lucienne Maville-Anku

 

Si trop étroite est sa cage
L’oiseau fera du picage
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@Lucienne Maville-Anku, 07/08/21, 07 :00

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Lucienne Maville-Anku

Lucienne Maville-Anku (739)

"C'est en écrivant que j'apprends à écrire."
Je suis originaire de la Martinique, une des charmantes petites iles de la Caraïbe, et vis au Royaume-Uni.
J'écris depuis de nombreuses années, et ce sont les autres, dans un premier temps, qui par leurs nombreux encouragements et appréciations a la lecture de mes textes m'ont aidée à prendre conscience que j'avais des talents à valoriser.
Ce désir d'écrire et de mieux écrire qui niche en moi depuis l'âge de 15 ans n'a jamais cessé d'aller croissant. Aussi, j’expérimente que c'est le fer qui aiguise le fer, et que plus j'écris, plus je désire écrire, et apprends de la sorte à écrire en autodidacte, par le soupir, par le désir, comme un feu qui s'attise.
La Poésie elle-même m'enseigne, j'apprends d'elle et découvre plus de sa beauté et sa diversité en lisant et en appréciant ce que d'autres écrivent et expriment, notamment sur cette plateforme, terrain de partage et d'expérimentations où foisonnent tant de talents qui m'émerveillent. C'est une vraie galerie d'arts uniques.
J'écris et développe cet art d'écrire en cultivant ma relation avec la Poésie, 'bon pédagogue’ qui m'instruit et m'éduque, et l'écriture elle-même qui comporte aussi des vertus thérapeutiques contribue à mon développement personnel. Cependant, j'ai souvent désiré participer à des programmes de formation pour parfaire mes talents et la stylistique.
J'ai compilé déjà plusieurs recueils de textes poétiques que je souhaite "dé-confiner" pour les mettre à profit, partant du principe que ce que l'on partage, on le gagne, et ce que l'on garde, l'épargnant à l'excès, on le perd.

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Alain Salvador
Membre
11 août 2021 11 h 09 min

De plus en plus serrés
Au cœur de nos cités
De plus en plus bridés
Au sein de nos idées
Laissez-nous respirer
Le droit de s’exprimer
Mon voisin d’à côté
Je ne puis supporter
Et lui de son côté
Peut plus me supporter

On va se faire la guerre
Reviendra la misère
Dans la basse-cour entière
Grondera le tonnerre

Je nous vois bien sans plumes
Bavant de rage, d’écume
Il est temps que s’allument
Nos idées sous nos plumes…

Colette Guinard
Membre
11 août 2021 9 h 53 min

oui Lucienne , nous avons besoin d’espace, retrouver la liberté sinon sera la révolte qui déjà gronde!
Bon mercredi avec toute ma tendresse Colette