Je m’en vais libre près des sels marins
D’un bonheur ivre, auquel j’appartiens.
Parfois je reste, d’autrefois je pars.
Les quais attestent ce ardent départ.
La barque vacille sous le ciel bleu
Azuré, pastel, comme on en voit peu.
Nous protège de milles malaises.
Nous éloigne de milles falaises.
Le bateau flotte et navigue au rythme
Des vagues salées qui en crépitent.
Sur ce trois mats seul mon cœur palpite
D’un désir de voyager qui m’habite.
Aldrick LM
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