Cette saison, temps maussade et indifférent.
Comme l’hiver passé, c’était cruel et laid.
Pauvre hirondelle ne fera pas le printemps.
Colombe blessée, gémit et appelle à l’aide.
Les cygnes et les oies fuient l’escadron Rafale.
Et les moineaux se taisent perdent leur envie.
De gazouiller de joie et frissonnent du mal.
Abandonnant leurs nids et craignant leur survie.
L’union des cœurs, la protège et la libère.
Colombe épuisée, par l’horreur du mauvais temps.
Un monde perdu entre des mains de colère,
Croire que les hirondelles font le printemps.
Roucoulement et chant fin entendu du loin…
Colombe dans le vaste ciel, flottant ses ailes.
Tiens ! un rameau d’olivier dont on a besoin,
En laissant les gelées de janvier derrière elle.
Les brises libérées traversent les frontières.
L’arbre nu cueille ses brindilles et ses feuilles.
L’harmonie répare le cours de la rivière.
Voilà, la bonne nouvelle apaise le deuil.
joli
Les oiseaux font planer l’espoir sur un monde libéré