Les jours s’écoulent depuis l’enfance
Les jours s’enfuient depuis l’errance
Les jours se figent depuis notre romance
Depuis ce dernier baiser
Je ne fais que fabuler
Tourner en rond, déambuler
Sans pour autant m’en lasser
Et sous l’inévitable soleil brûlant
Cherchant toujours à cramer
Le sombre parcours cavalier
De deux fugitifs aimants
Qui fuient pour ne pas être jetés
En pâturage devant la cour
Où devant les regards effrontés
Condamné à mort sera notre amour
Les jours s’écoulent depuis l’enfance
Les jours s’enfuient depuis l’errance
Les jours se figent depuis notre romance.
OMM
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De l’enfance à la sagesse les jours ont passés en douceur ou douleur tel est notre romance à nous poètes
Un beau poème merci Oscar
Ce texte est très joli. J’aime aussi votre profile.