Ce n’est pas la flamme qui alimente les ténèbres
Ni la chaleur humaine qui un jour l’engendra.
Dans le quotidien ce sont les petites choses, les pègres
Qui se nourrissent d’une joie de vivre qui n’existe pas.
Il vous torture ce qui reste d’une vie délabrée
Attendant son âme en dégustant sa conscience mortifiée
Par les quolibets et les sornettes de l’être aimé qui rigole
De sa déchéance impromptue et du peu de vie qu’il racole.
En enfer le temps n’existe pas. Tous se battent et s’abattent
Dans une cacophonie incommensurablement malfaisante,
Audible à travers les âges et ses ombres si complaisantes.
Du mal qui triomphe du bien que toujours l’on tourmente.
22 mars 2009
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Le propre même des escrocs, des fripons…des voleurs…c’est de vous épier, de vouloir subtilement “vous voler vous”, de vous cribler, de vous saper le moral et de vous saturer dans votre désert déjà brúlant…convertissant votre terre à vous en mottes…de pierres. Qu’on dise : non !
Et on invite une tendre pluie.
On invite la rosée du ciel.
Une pluie de printemps
Comme un baume pour la terre
De cœurs blessés et meurtris
On invite la rosée du ciel
De clémence qui arrose
Les mottes de terre attendrit
On invite la pluie de rosée
“La lumière a de l’avantage sur les ténèbres…”
Triomphe du mal le bien…ultimément