Eve, je t’ai vu mon petit éden.
Où le lys a fleuri en toi, ma reine.
Joues soyeuses, paupières en velours,
Regards, qui me font perdre mes parcours.
Je t’ai senti, une prose d’amour,
Où la rose fleurit encore en toi.
Lèvres de glucose et éclair du jour,
Sourires qui me font perdre et me noient.
Entre tes lèvres fleurit le pavot.
Brille d’un doux désir jamais vieillot,
Rouge vif, léger gracieux et beau.
Comme un baiser délicieux et chaud.
Quand je te vois, je palpite de joie.
L’oreille apprécie le ton de ta voix.
Ma rivière coule après son réveil.
Sur ta peau irritée sous le soleil.
Tu cours en souriant comme un plaisir,
Parmi les belles phrases à te dire.
Randonnée et tes cheveux ondulaient.
Dans mes mains, comme des épis de blé.
Tu cours de joie et décore mes jours.
Comme ce pavot de mon champ d’amour.
Il m’inspire, offrant de la passion.
Et me fait me sentir calme et patient.
Par ailleurs, je suis ravi et comblé.
De l’ange cramoisi, de champ de blé.
Par sa finesse, je suis passionné.
Pavot d’éden… Eve, m’a tout donné.