Derrière la montagne, le vent souffle en rafale sur les flans.
La neige se compacte au touché de la brise froide arrivant.
Sa couleur blanche de pureté voyage à travers les horizons
La douce plénitude du plaisir vînt à toi sans aucune prévision
Le chant des oiseaux se murmure dans le bois vide et obscur
Les feuilles se disloquent comme un cœur en pleine déchirure
Ce promenant à l’aveugle sur l’herbe sèche observant le silence
Avançant seul pas à pas écoutant les corbeaux sous surveillance
Profitant du calme apparent espérant retrouver cette l’inspiration
Griffonnant quelques vers sous l’emprise de celle appelée raison
Les verdures de la nature sont un sublime spectacle prestigieux
La beauté submergeant les altitudes retient ses faux airs malicieux
Respirant à plein poumon au milieu de ces champs déserts
L’odeur de la forêt enneigée n’est pas là pour nous distraire
Vagabonder tristement sur les vastes sentiers de notre monde
L’absence d’être humain alourdie nos pensées qui s’inondent
Ce laisser porter par les forts, durs cris stridents de l’aigle royal
Surplombant le ciel de son mystique plumage feutré ancestrale
Un bon resourcement, bien décrit