Emprunter ce chemin linéique,
Sens unique tracé par l’hégémonie,
A ma gauche nature incivilisée,
A ma droite béton méphistophélique.
Marcher, courir, ramper, peu importe,
Il faut continuer, sans sourciller,
Pour passer ce pont haut banc élevé,
Chevauchant le Styx d’une ville morte.
Oh non plus guère de soleil, de vivre,
Cette raison solitaire pour moi ivre,
Des espoirs nihilistes d’être bien heureux,
Me gagnent de rejoindre ce ciel nébuleux.
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Merci Mickaël, surtout ne vous hâtez pas trop de rejoindre le ciel nébuleux. Notre ciel de poète est clair et lumineux et nous avons besoin de nouveaux amis… Rêvons ensemble !