Quand monotone
Sur le Pont Neuf,
Revient l’automne
Vieux Rutebeuf,
Au vent qui jase
À tout hasard
Son air de jazz;
Et qu’un clochard,
Bouche à la treille,
Offrant le vin
De sa bouteille,
Pour un rotin
Aléatoire
Aux passants morts
Sa triste histoire
Raconte encor;
Vois les péniches
Et les amants
Qui font leur niche
Au Vert Galant!
En avant scène
Au bout du square
S’en va la Seine
Loin des regards…
Laissant la peine
De Rutebeuf,
Qu’amour me mène
Loin du Pont Neuf.
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C’est tout simplement merveilleusement beau.
Quelle harmonieuse harmonie entre voix, musique, et paroles !
Une musique qui berce une certaine mélancolie, et permet d’apprécier le texte.
🪶Belle combinaison, Jean-Pierre Mallet. Quel talent.
Bonne journée à vous.