J’ai cru un jour qu’une main tendue
Attendait qu’on l’ai secourue
J’ai cru un jour qu’une âme perdue
Cherchait quelqu’un pour son salut
J’ai cru un jour qu’un corps meurtri
Pour lui tout était interdit
J’ai cru un jour qu’un cœur flétri
Ne pouvait renaître à la vie
J’ai cru que j’étais ce haut phare
Que vous étiez la naufragée
Et avant qu’il ne soit trop tard
Je vous empêche de vous noyer
Il faut se rendre à l’évidence
C’est bien moi qui allait sombrer
En fait vous êtes la providence
Et c’est vous qui m’avez sauvé
J’ai cru que c’était le hasard
Que rien d’avance n’est programmé
Moins solides que peut l’être un phare
Mes certitudes sont balayées
A.S.
Je suis né en 1956, et ai toujours eu le goût pour l’écriture.
Cependant je n’ai fait aucunes études , ni de lettres ou autre chose de bien gratifiant.
Je n’ai qu’un CAP de mécanique en poche et ma vie passée en usine , ma famille avec mes trois enfants, font que depuis ma retraite, j’ai repris du temps pour me consacrer aux mots.
On pourrait dire de moi que je suis plutôt un autodidacte.
Les quelques personnes à qui je fais lire mes textes me disent que j’ai une facilité d’écriture.
A ceux-là je leur réponds: ”ce n’est pas toujours aussi facile qu’il y paraît… ” Et pour l’orthographe, et bien je révise les règles…Il n’est jamais trop tard si l’on veut entreprendre quelque chose dans sa vie.
Lire la suite du même auteur :
Partager la Publication :
Alain ,ce phare dont vous parler est le sauveur un jour de l’un ,un jour de l’autre , échanger doit être un but pour conserver l’amitié