Le cruel réveil.
L’ombre d’un passé ressurgit par accident,
Sombre dortoir de lies en somnolences…
Tant de douleurs étouffées en dedans,
Plongent son cœur dans de froids silences.
Dans ses longues nuits au Finistère gris,
Esseulé, dans cette anonyme multitude.
Des Ombres noires, aux tristes attitudes,
La mémoire réveille à nouveau leurs bruits.
De ses pauvres yeux bleus qui s’éteignent,
Ne restent que le ressentit de ce temps maudit.
Submergées de larmes, de honte et de haine,
Son grand cœur grimace d’être devenu si petit.
Saine résilience mais reste la lueur de l’Ombre…
© – 2018 – YJAL
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Beau texte malgré cette souffrance.
Anne
Merci pour cette belle introduction poétique !
Nous avons hâte de découvrir vos autres textes.
Bien à vous,
Alain