Le bel enfant
Qu’ils sont beaux et fascinants les yeux de l’enfant
Du haut de ses six ans dévorant et curieux
Il ôtait le laid en gardant le délicieux
De ses perles précieuses, couleur océan
Comme un retour considérable à la source
Aussitôt que les guerres aient perdu leur aspect
Rien ne brillait guère au tantôt de la paix
Que les terres et les lucides ronds délavés
Miroir de l’âme où se forme l’amande
Des yeux
La flamme en éclat, d’un pouvoir ineffable
Reflet du calme plat, le monde harmonieux.
La Nature pâme sa joie et en redemande
Un peu
Au petit homme, héros de cette fable
Aldrick.M
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