Quand l’amour vous saisit, il peut vous surprendre n’importe où et vous emporter, comme dans un carrousel. L’amour sur la pluie, sous un ciel gris et au travers un rideau d’eau, un jour d’été, c’est un instant de fraîcheur. Des retrouvailles, sous une trombe d’eau, douce et fraîche les rendent limpides et propres. Les gouttelettes giclent sur les corps, et le rideau humide ne peut rien contre les cœurs, qui s’éprennent. La fougue de le jeunesse, les entraîne, dans une folle farandole qui fait crépiter la pluie. | L’amour sous l’averse comme un bain de jouvence vient nous inonder le cœur et faire déferler un flot d’amour. Elle tombe drue et serrée, et retentit comme une timbale, tandis que les corps se pressent humides et chauds l’un contre l’autre. Sourire aux lèvres, les doigts humides explorent le corps de l’autre, tandis que petit à petit, le déluge se transforme en ondée. L’amour n’a pas de saisons et rien ne peut lui faire entendre raison quand deux corps chauds et humides, s’enlacent avec ardeur. |
Beau poème, qui me rappelle “Rappelle toi, Barbara , il pleuvait sur Brest ce jour là.”Prévert aurait aimé votre poème, les vêtements collés à la peau, et le baiser qu’ils se sont donnés.