Mon esprit tel un arbre nu,
Regarde avec mélancolie,
Ce ciel élégiaque d ‘hiver mû,
Par de pesants nuages de pluie.
Individu si seul pourtant,
Partageant l’immobilisme,
De dramatique équivalent,
Arrimé dans le mutisme.
Comme il me serait folâtre,
Joie de ma pétulance,
De cette raison idolâtre,
Animant mon immanence.
Michaël Overberg
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Très beau texte Mickaël !
J’aime beaucoup le style, de bons clichés et une lecture agréable avec un bon ressenti.
Merci pour ce deuxième partage !
Bien à vous,
Alain