La loi du cœur
Taf, taffer j’avale la fumée, douce volupté.
L’attache comme bouclier de l’idéal souillé.
Trop lourd pour s’envoler, trop léger pour sombrer.
J’voudrais être sourd, aveuglé, transporté d’idées.
Qui des cieux miséricordieux en sont le don.
Qui des dieux trop élogieux baissent d’un ton.
Quand la mélodie anarchique se fait religion sans le sacré.
Quand la vie utopique défait la désunion de leurs divinités.
Même théorie, même idées. Ils s’entretuent de savoir qui détient la Vérité.
Blême érudit sans l’humilité qu’atténue l’illusoire des espoirs enchainés.
Aux codes moraux affligeants d’inhumanité menés par la peur.
Aux codes immoraux dirigeants l’humanité disloquée vers plus de douleurs.
Alors à tout cela je préfère les péchés.
En accord des valeurs du cœur.
Alors face à tout ça j’adhère au fait
Qu’un jour mort sans la rancœur, plus de terreur.
19/06/17
merci
mais il semblerait que vous avez confondu l’auxiliaire
pour “Qui des cieux miséricordieux en sont le don.”
ce serait plutôt “avoir”
ce pourrait être une “pensée” plutôt que poème,
voire TexteP
Merci Erwan