La douleur
Avec ce virus qui nous accable
On ressent le besoin
D’accomplir des évènements
Formidables envers tout humain
De venir en aide à notre prochain
En partageant tous ses tourments
Provoqués par ce virus malsain
Le réconforter comme il se doit
Sinon sa santé se glisse
Dans ce trou béant
Tel un puits sans fond ,il se noie
Semblable à cet enfer
Il va rejoindre trop tôt l’univers
Qu’on nous prédit
Quand à nos parents
Nous avons menti
Pourtant innocemment ma fois
Déjà lorsque tout petit
Ce mensonge qui par malice
S’enlise dans nos lendemains
Maintenant devenus parents
A notre tour d’éloigner nos enfants
De ce virus covid malfaisant
En leur indiquant c’est certain
Qu’ils doivent nous écouter
Suivre nos conseils justifiés
Quand malheureusement
Autour de nous des amis périssent
Emportés comme un feu de paille
Engloutis quittant la vie
Alors qu’éloignés de tout caprice
Si jeunes encore ils livraient bataille
Ils avaient tout à attendre de celle-ci
Je vous en prie vous qui lirez ceci
Prenez soin de vous et les conseils à écouter
Texte de Colette Guinard
Je suis mariée à Jean depuis 63 ans ,nous nous sommes connus gamins 14 et 17 ans , nous nous aimions d’un amour idyllique qui avait enrichi ma vie et m’avait donné des ailes ,de l’inspiration pour la peinture, la sculpture, la poésie , je suis en fauteuil roulant depuis un
A V C, datant de 2007, Jean m'a totalement abandonnée à ce moment là, après une forte dépression.
Jusqu'ici, je vivais dans une résidence seniors afin d’être proche de mon époux qui lui, est en face dans un Ehpad depuis 3 ans,en fauteuil roulant lui aussi, ayant fait un très grave A V C, il a perdu toute son autonomie mais garde intact son intellect ce qui nous permettait de vivre quelques bons souvenirs ensemble, lui ayant accordé mon pardon , sur ces années perdues depuis mon A V C !
Mais là j'ai besoin d'espace, alors, je vais rejoindre mon fils cadet Laurent afin de vivre définitivement à ses cotés au Maroc, quant à mes enfants d'ici et mon époux je les contacterai à la webcam
Nos quatre enfants nous ont donné une grande famille .Malgré un chemin difficile, rien ne vaut la vie, elle mérite d’être vécue
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Un complément du Covid n’oublions point les gestes barrière.
Tout est dit, merci Colette.
Et si Noël pourrait se fêter au 14 juillet…Les feux d’artifices seraient les étoiles du ciel de Bethléem.
Si le premier de l’an Chinois se fêtait à la mi août, quelle importance, les dragons ne sont-ils pas des espèces de gros chats!!!
C’est l’intelligence de tous les humains luttant ensemble qui viendra à bout de cette immonde saloperie, du chercheur dans son laboratoire à le femme de ménage dans les locaux à désinfecter.