J’ai traversé bien des mers et tempêtes,
Solitude seule compagne à bord;
Jouant tristement à la trompette,
Et les vagues dansant en accord.
Solitude seule compagne à bord;
Jouant tristement à la trompette,
Et les vagues dansant en accord.
J’ai caressé de mes mains mille espoirs,
De trouver un abri, ou un vieux port.
Mais le destin ne semble pas vouloir,
M’accorder ce désir si fort.
Autour de mon rafiot que la mer,
Ses vagues me poussent vers l’incertain.
Pas l’ombre d’un ami, ni de mère,
Pleurant la fin de mon triste destin.
Je m’agenouille, les yeux vers le ciel,
Implorant la volonté du tout puissant.
L’apparition d’une île bien réelle,
A l’horizon de mon vouloir pressant.
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Un bien joli texte, cher troubadour. Sa breveté en fait toute la force… Bravo et merci donc pour ce partage.