Je revois cette blanche chaise
Placée dehors
Pour reposer ton corps
Et donner à ton âme un peu d’aise.
Après ton passage dans l’au-delà
Je regardais cette chaise
Avec beaucoup de malaise
Mes pensées se noyaient là.
Le matin la chaise était déplacée
Et je savais que la nuit venue
Tu étais revenu
Y reposer ton corps blessé.
Après deux mois de ces pensées
Une lumière me foudroya.
Tu ne reviendras pas
De pleurer il faut cesser.
Ce fut comme une délivrance
Je te verrai un jour revenir
Dans mes souvenirs
Pour apaiser ma souffrance.
©B Laroze
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Oui, c’est bien triste de perdre son être bien aimé, je compatis.