Joséphine Baker au Panthéon,
Oui c’était une femme méritante,
Pourquoi dire dans les informations
“La première femme noire au Panthéon” !!!!!
Elle aurait-été blanche de peau,
Aurait-on précisé “une femme blanche”,
Non ! Alors voyez, vous journalistes,
Faites attention à tous vos propos.
Pourquoi dire la couleur d’une peau,
Il ne manquerait plus qu’on ajoute
“Après tout elle y avait sa place,
Elle n’était pas si noire que ça.” !!!!!!
A.S.
Je suis né en 1956, et ai toujours eu le goût pour l’écriture.
Cependant je n’ai fait aucunes études , ni de lettres ou autre chose de bien gratifiant.
Je n’ai qu’un CAP de mécanique en poche et ma vie passée en usine , ma famille avec mes trois enfants, font que depuis ma retraite, j’ai repris du temps pour me consacrer aux mots.
On pourrait dire de moi que je suis plutôt un autodidacte.
Les quelques personnes à qui je fais lire mes textes me disent que j’ai une facilité d’écriture.
A ceux-là je leur réponds: ”ce n’est pas toujours aussi facile qu’il y paraît… ” Et pour l’orthographe, et bien je révise les règles…Il n’est jamais trop tard si l’on veut entreprendre quelque chose dans sa vie.
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Inlassable beauté
Une pluie pourpre descend sur le visage saumon du jour,
Quand le vent toussote ses grains de poussières blafardes,
Sur un silence opaque et lourd d’une messe vasouillarde.
La rouille des feuilles des arbres a suivi l’été indien glamour.
Puisque les heures ruisselles sur le cadran des aurores,
Chargés de scènes de music-halls où danse Joséphine Baker,
Dans le murmure des étoiles aux hymnes berbères,
Quel nectar pu remplir cette coupe divine – enivrante Açores.
Elle marchait comme des printemps ensoleillés,
Sur des crêpes de dentelle, dans les jardins de Byzance,
Aux sourires des fleurs, dans le charme des fontaines de St Paul-de-Vence,
A l’odeur maboule des eaux chaudes du lagon de Huahine.
Le nid gazouille dans le château de nuages à Milandre,
L’horizon remplit d’une multitude de fleuves de marbre,
Aux paupières des ruisseaux là où le soleil palabre,
Le saule frissonne d’entendre bégayer le vent sans esclandre.
L’orage gémit dans l’abime nazi des corbeaux anthracites,
Bavures endeuillées dans ce bain de laque noire zénithale,
Engoncés d’hivers où fleurissent les sourires de Neandertal,
L’inlassable beauté aux deux amours que son étoile ressuscite.
Un seul mot qui veut beaucoup dire: RESPECT.
Merci Alain pour ce partage.
la couleur n’a aucune importance! Dans le corps de hommes coule dans leurs veines, un sang roule ardant couleur de l’amour qui le prouve pour son prochain! Bonne semaine dans ce partage humain! Blanche
D’aucuns diraient qu’elle n’était ni noire ni blanche.
On sait qu’elle a lutté contre le racisme, elle dont la mère était une noire…et le père…espagnol…un blanc…
🪶 S’agit-il ici de couleur… “Blanc-noir” “noir-blanc”… Je sais que…non…je sais que…oui…mais non…
“Pourquoi dire dans les informations
“La première femme noire au Panthéon” !!!!!”
(Parce que cela est extra-ordinaire…Alain)
🪶Ton texte me rafraichit la mémoire et me ramène à mon écrit… “Au Panthéon ils sont…” (réf. Alexandre Dumas)…extrait d’un plus long texte que j’irai déniché…à cause de toi…Alain 😃)
“Elle aurait-été blanche de peau,
Aurait-on précisé “une femme blanche”,
Non ! Alors voyez, vous journalistes,…”
Besoin ne serait de le préciser…car cela…irait de soit…
🪶Il me semble que j’ai et que je n’ai pas grand chose à dire.
Merci Alain pour ce partage qui certes…ne me laisse indifférente.