Pensant que ma foi et ces vertus qui te fussent chères,
Honoreraient ton somptueux nom et ces aïeux sacrés,
Mais d’une aube des plus troubles, voilà que ma chair,
Accueillit ton zéphyr sinistre qu’elle courra baiser.
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Pensant que ma foi et ces vertus qui te fussent chères,
Honoreraient ton somptueux nom et ces aïeux sacrés,
Mais d’une aube des plus troubles, voilà que ma chair,
Accueillit ton zéphyr sinistre qu’elle courra baiser.