J’entends chanter les oiseaux
J’entends chanter les oiseaux,
Ce matin le soleil porte sa robe lumineuse,
Les arbres nous injectent d’oxygène
Et le travail nous attend, j’ai hâte de le faire.
L’amour, le glamour, l’humour, l’amitié et la sagesse,
Logent dans mes trames depuis que j’étais une petite cellule,
Ah ! Cette petite molécule a grandi dans la bonté,
Et elle est heurtée par les champs de la méchanceté.
Au fond de la bonté de chaque âme,
Réside des semences de lumière généreuse,
Et dont les rayons sont des bienfaiteurs,
Ils aident la vie à continuer son existence.
J’entends chanter les oiseaux,
Ils sont merveilleux comme des anges
Ils embaument mon cœur en transe,
La démocratie creuse ses sillons de la dignité humaine.
Les roses éclosent sur le balcon de l’essence.
Posent les colombes de bonheur,
Elles bénissent les enfants de tous les temps,
Les jasmins de la liberté voyagent dans tous les pays du monde.
Ma plume militante m’incite à écrire,
Ses émois rêveurs et baladeurs,
Dans les prairies des pensées,
Je griffonne l’histoire de l’amour universel
La paix laisse couler mon encre humaine,
Mon esprit s’harmonise bien avec le bonheur,
D’une terre en effervescence
Et dont l’essence observe un espoir d’une liberté souffrante.
Nos douleurs dans un répit d’oubli,
Elles profitent d’une symphonie,
D’un mélodrame,
Et dont la mélodie soulage les esprits penseurs et tristes.
© Fattoum Abidi 24.6.2016