je t’enlace
et te serre
fort contre moi
avec émoi
te fouaillant la bouche
et te happant la langue
que je tortillonne
avec la mienne
longuement
et a^prement
à en perdre le souffle
en te caressant la nuque
puis le cou
sans à coups
jusqu’aux fesses,
Popaul s’en réveille
ce qui me redonnes
le gout de vivre
avec ardeur
jusqu’ à plus faim
ni soif !
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Bonjour,
Je trouve votre texte vulgaire.
:-(