Une place de mon corps sur la terre commune
Qui convient avec les secrets en excuse sacrée
Où une pince-sans-rire sous le pont de paroles,
Me reposant, je m’écoute dans les confessions.
Convive de mon poste qui y atteint au sublime,
Un voyageur spirituel qui s’attend à son apogée.
Etouffer ses pensées, comme dans l’eau trouble,
S’en aller ou s’échapper, sculpteur de mon âme!
L’atelier d’un artisan de mon corps musculaire,
Son maître ou sa maîtresse et sang de mon teint
Sans scie, sans tranchant et ma statue en bronze
Qui vous sourit ou vous elle souriez, sans doute!
Nombre de Vues:
24 vues
Bonsoir pour ma première lecture j’ai aimé votre beau texte amicalement
Béa