Il fait beau, j’ouvre tous les pores aux soucis
Il fait clair, j’ouvre tous les yeux des sosies
Qu’ils se répandent sous les cils aux charmes
J’accepte de lire tous les tons de mésestimes.
Il fait noir, j’ouvre tous les rayons de jaunes
Il fait du mal, j’ouvre tous les nerfs optiques
Qu’ils se rendent violets dans les teints peinés
Je continue à lire tous les vers de mon corps.
Il est temps d’apprendre à courir aux champs
Ceux qui se savaient couverts de soucis récents
Avec lesquels donc, il faut qu’on soit heureux
Et je finis de lire tous les contes fantastiques!
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Bonjour belle plume amicalement