“…Vais-je mourir aussi? M’attend le même la sort comme Enkidu?
La peur ‘a paralysé mon cœur:
effrayé par la mort, je vagabonde par le désert
pour rencontrer Uta-napiscu, le fils d’Ubar-Tutu,
celui sans mort.
J’ai commencé sur la route et je suis pressé.
Voici la nuit!
je suis arrivé le coeur des montagnes, j’ai vu les lions féroces
et j’avais peur.
j’ai levé la tête
et j’ai prié le dieu Sin ‘.
Vers toi, Istar, la déesse glorieux, mes humbles prières montent:
O, vous béni dieux du la nuit, ayez pitié de mon âme!”
.
il est difficile d’imaginer cet univers en larmes
dans certains endroits, le verbe sentir ne se combine pas avec les auxiliaires
avoir ou être
les yeux n’ont aucun lien avec le cœur et il n’y a pas de pont Eistein-Rosen au champ akashique
dans le cerveau (une fascinante Norvège de fjords!)
l’expression “vie” n’apparaît pas dans le grand dictionnaire intergalactique
au lieu de cela, nous trouvons l’instinct primaire ,
cette impulsion incontrôlée du invisible matière,
Le Big Bang,
l’impulsion immanente de la machine de détruire
dans Cosmos, le regret est quelque chose sans explication scientifique,
larmes de les yeux un état d’agrégation de matière,
aimer, l’attraction entre deux pôles de conscience
du type opposé
qui fusionnant
pour rien Enkidu avait erré dans tout l’Univers
il avait vaincu le monstre Humbaba et le Taureau céleste
Ichtar , reine de tous les trous noirs de la Voie lactée,
avait aligné toutes les étoiles brûlantes autour d’elle
avait absoré des quasars vagabondes
la poussière restant des étoiles
supernovaes malades, en effondrement clinique,
la lumière
les gens sur terre
la vie…
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Te lire est un voyage Aurel : passer de la mythologie mésopotamienne à la théorie du Big Bang, sans éviter les trous noirs, c’est donner le vertige au lecteur. L’interrogation sur la Vie reste sans réponse. Amicalement. Marie