Feux d’artifices
Dans le ciel du plus tendre hémisphère
Où s’étend le fiel des couleurs de misère
Et ces simples rayons qui transpercent les cieux
Forment l’Olympe des déesses et des dieux.
Nos yeux amoureux aux visions qui crépitent
Les lueurs s’éclatent et s’échappent en accalmie
La nuit houleuse nous émerveille et s’agite
En des vagues lumineuses de pacotille.
L’esprit fuse en de vives couleurs perçues
Des reflets de paradis passent inaperçues
Et délivrent nos rêves de tout désastres.
Comment ne pas être ivre de tout ces astres?
Aldrick LM.
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