Esprit
Lorsque l’esprit va trop loin
Ronger par certains refrains
Prières des esprits errants
Voies, tu les toiles là aux coins
Entends-tu les sentinelles ?
Miel donne aux abeilles
Mon dieu, quelle merveille
Jamais elles ont étés si belle
Elles dévorent sur la lavande
À Vinon sur/verdon, passant
T’admires, te jalouses précisément
Au ciel, le firmament descend
L’esprit prend gloire en écrivant
Le poète chante sur son papier blanc
decibelle, syllabes, palabres sauve avant
Puis ruisselle tel l’ouragan tel un amant
La pulsion de l’instant suprême aimant
Quand le jour ponte à l’horizon soleil cris
La plume n’arrête pas son chemin d’argent
Pluie Vent, marrée noir, blanc ocre ,écrit
De voix solide, grisaille l’insolite, ou funeste
Sulfurant suite de. Ma tête de poétesse
J’écris au humain ou au vent qu’importe
Le message a ces doubles hangars et porte
Qui arrête le fou ? Ma plume appuis
Sur des faits réels nullement féerique
Gâcher encre, pour tes brunes, inédites
Cri,rie ,je suis-ce que je suis …… Ligne
Écrit de Laura Joannidis,tous droits réservé
“Esprit”, la lecture de votre poème fait croître en moi, l’envie de connaître le vôtre. Il doit être au moins aussi riche que votre poème.