Les fleurs ne peuvent pas pousser
Sur les terrasses des cafés,
La ville est si belle la nuit
Dans tes yeux où l’étoile luit.
Quand chacun glisse sur son erre
En mangeant des oranges amères,
Il est poussé par la colère
Devient un homme en galère.
Quel que soit le prix de la vie
Les combats sont indéfinis,
Alors sautons dans la cascade,
Fuyons cette mascarade,
Aigle au-dessus des caniveaux
Osons nous aimer à nouveau.
Didier TRIMOULET
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Plaisir d’une belle poésie redoublé par le coté printanier et plein de sourires…ça fait du bien : merci Didier !
Merci pour ce beau partage poétique Didier !
Quel plaisir de vous lire, nous avons hâte de découvrir vos autres textes . . .
Mes amitiés,
Alain