I.
Les tracées mémorisées des heures éperdues à la ville
Les cloches de tous les temps sonnent sans désemparer.
Les mots qui se prononcent difficilement dans la bouche
Du sang et du vin à rompre, au coucher en air harmonisé.
En pleine tempête qui n’est que de façon à me mémorer.
II.
Les débris complimentés des années débridées à la ville
Où les pointes de tous les clochers saignent à mon ciel.
C’est d’un mémento qui pour se chanter à mes oreilles
De la mémoire et par la sonore à gravir en air passioné.
En pleine tempête qui n’est que accord de me moraliser.
III.
Les artères à déboucher d’angoisses déboulées de la ville
Les veines de tous les organes se joignent dans la ténuité.
Les lamelles osseuses de mon urbanité se plaignent de soi
Elles s’établissent aux abris entre la ville et les banlieues.
C’est un plein songe qui était le guide de ma randonnée!
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© – 01/09/2018
Bravo très beau partage cher Abdullah
Mes amitiés
Fattoum.