Mon amour, quand je te tiens dans mes bras,
que ton corps s’offre au mien,
je me sens comme enivré
par tes odeurs, ton parfum.
Ce sont les effluves de l’amour,
qui me prennent, me lient à toi
et m’emprisonnent comme un enfant
qui sent sa mère pour l’identifier.
Mon esprit s’embue,
mes yeux se font tendres
et pendant que ton parfum exhale
mon corps exulte en se joignant au tien.
Ce sont les effluves de l’amour
qui font ma raison vaciller
et ne me donnent plus qu’une idée,
m’unir à toi, me blottir dans tes bras.
Me blottir dans tes bras,
tel un enfant, confiant,
recherchant ta chaleur,
me calfeutrant contre toi en toute intimité. .
Ce sont les effluves de l’amour,
qui mettent mon âme à nu,
font de moi ton prisonnier,
quand mes mains caressent ton corps.
Qu’elles le parcourent avec douceur
pendant que tu laisses échapper
les effluves de l’amour
qui font de moi ta chose.
Depuis longtemps déjà
mes ardeurs s’étaient éteintes
et mon corps devenue chose étrange
ressemblant plus à une prison qu’à un antre du plaisir.
Te rencontrer m’a fait redécouvrir
ce qu’étaient les effluves de l’amour,
le plaisir de les respirer,
et fait renaître l’amour.
te découvrir,me joindre à toi
te respirer a fait de moi
un être sans force, tout à toi
tandis que nos deux corps fusionnent.
Illustration : Nathalie La Muse
Texte : Eric de la Brume
Le 26 novembre 2017
Des mots qui donnent ce sentiment naturel de l’amour, en absence de tout factice!
Une vision à part de la poésie d’amour.
Merci Poète!
Adrien.
J’adore