Dans « Philtres et élixirs », le poète se promène de la Bretagne à Paris, comme par onirisme. Il découvre le métissage et le mélange culturel. Naître, vivre et mourir, puis renaître à nouveau.
Dans « la vie sans élan », on passe aussi de la vie à la mort, du mélancolique au lyrique, du diabolisme à l’angélisme sans qu’on ne sache vraiment lequel existe avant de revenir vers l’unité.
« Poèmes d’Ève » parle de cette dernière, enfermée dans sa mandorle. Elle tente d’éviter sa chute car elle souhaiterait demeurer céleste alors qu’elle a goûté au fruit défendu. C’est donc trop tard.
Le poète tente de prouver que, quelle que soit la faute commise, on n’a pas le droit à une autre chance. On paie notre péché en toute conscience ou dans l’inconscience la plus totale.
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